Côte d’Ivoire / Awoulaba 2021 : Yankey Marie Tatiana sur le trône
Yankey Alloua Marie Tatiana, célibataire, commerciale, 27 ans, 1,80 m, 95 kg, mère de deux enfants, rafle la couronne de la 14e édition du concours Awoulaba qui s’est déroulée le samedi 31 juillet 2021 au palais de la culture de Treichville.
Dernière à défiler sur le « T » dressé par le Comité awoulaba Côte d’Ivoire (Caci), Yankey Alloua Marie Tatiana a ébloui le jury et le public de la salle François Lougah du palais de la culture avec ses canons de beauté africaine.
Ses passages en boubou et en pagne ivoirien ajoutés à ses atouts esthétiques composés de rondeurs et de plastique facial lui ont valu son sacre national parmi les 10 autres candidates. Avec 184 points, elle succède à Josée Carine, awoulaba 2019.
Aux côtés de la nouvelle belle femme africaine figurent deux saramans. Il s’agit de la candidate de Port Bouët, Marie Josée Guehoué Nahia Dibo, éducatrice spécialisée, célibataire, mère de deux enfants. Classée 1ère saraman avec 159 points, elle a devancé de deux points la 2ème saraman Marie Noëlle Seripka du Sud Comoé, mère d’un enfant étudiante, célibataire.
Le trio gagnant ayant le prénom Marie en commun a reçu diverses récompenses de la représentante de la marraine de la cérémonie Dominique Ouattara et des partenaires du concours. L’Awoulaba aura quant à elle, un terrain offert par un partenaire. Et puis la grande surprise, un partenaire concessionnaire prête pendant un an un véhicule flambant neuf à la reine pour ses sorties officielles.
Avant l’entame de la compétition, les candidates ont fait vibrer la salle lors de leur chorégraphie. Elles ont présenté le thème « La lutte contre les discours de haine » choisi le Caci et l’Unesco pour renforcer les liens entre les communautés.
« Nous avons connu une crise qui a touché jusqu’au fond des familles. L’Unesco, à travers le Caci, veut sensibiliser le peuple ivoirien à arrêter les discours de haine, à aller à la paix et à la réconciliation », a expliqué la présidente du Caci, Geneviève Dahon.
Aimé Dinguy’s N.