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Le lancement des travaux préparatoires de la 39ème Session de la conférence générale de l’UNESCO a eu lieu ce mercredi 26 juillet 2017 au Centre National de Matériels Scientifiques (CNMS) de  Cocody.

 

En prélude à la conférence générale qui se tiendra du 30 octobre au 14 novembre 2017 à Paris, les participants décideront de l’orientation et de la ligne de conduite de l’Unesco. Occasion pour ces panélistes regroupés en sept commissions de se prononcer sur les programmes soumis par le conseil exécutif, d’adopter les instruments normatifs dans les domaines de compétences de l’institution pour les soumettre aux Etats membres. Le rapport de la Côte d’Ivoire sera examiné  à Paris pour donner une suite à cet instrument d’intérêt national.

 

Au pupitre, le nouveau secrétariat général de la Commission Nationale Ivoirienne pour l’Unesco, Dr Soro A. N’golo a levé un coin du voile sur les tenants et aboutissants de ces assisses. « La Conférence générale qui élit le directeur général, comme ce sera le cas au cours de cette 39ème session.

 

Elle désigne les membres du Conseil Exécutif ainsi que les animateurs d’un certain nombre d’organes internationaux et intergouvernementaux. Techniquement, il s’agit d’une réunion complexe. 

 

Ce qui justifie une préparation minutieuse de tous les experts du public comme du privé afin de réunir toutes les conditions pour une participation efficace et efficiente de nos délégués », a-t-il défini. L’opportunité de la commission nationale de l’Unesco a été saluée par le conseiller technique  chargé de la coopération des relations internationales, Anoma Gervais représentant la Ministre de l’Éducation Nationale Kandia Camara. « Cette organisation du système des Nations-Unies entretient avec notre pays des relations particulièrement constructives », indique t-il.

 Il a ensuite mesuré les bénéfices et l’impact irremplaçables de l’UNESCO en Côte d’Ivoire. « Dans notre effort de repositionnement de notre pays aux plans de l’éducation, des sciences, de la culture et de la communication », a-t-il informé. Et de renchérir : «  Tous les évènements inscrits sur l’agenda de l’UNESCO rencontrent donc une implication totale de la Côte d’Ivoire, ce qui nous confère une plus grande visibilité, mais aussi des devoirs.

 

Au titre de ces devoirs, j’évoquerai une présence plus accrue de notre pays au sein de l’institution. Cela commence par une vulgarisation des idéaux de l’UNESCO au plan national, à travers une commission nationale qui porte un projet efficient, pour devenir effectivement l’interface entre notre système national de développement de l’éducation, des arts, de la culture, de la communication et l’UNESCO ».

 

Aussi faut-il dévoiler que l’UNESCO, conformément à ses fondamentaux, contribue à l’édification de la paix, à l’élimination de la pauvreté, au développement durable et au dialogue interculturel par l’éducation, les sciences, la culture, la communication et l’information. Cette session préparatoire a réuni des représentants de tous les Etats membres de cette organisation mondiale, les Inspecteurs généraux, les directeurs centraux et chefs de services.

 

Aimé Dinguy’s N