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 Abidjan, Côte d’Ivoire, le 25 Février 2016 : Sanofi et le Ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida de Côte d’Ivoire ont présenté les résultats du partenariat de lutte  contre le diabète et l’hypertension artérielle, en prélude à l’ouverture solennelle du premier congrès de la Société Africaine d’Endocrinologie Métabolisme Nutrition .

Les résultats de ce partenariat ont été partagés en présence de Dr Adoueni, Directeur Coordonnateur du Programme National de Lutte contre les Maladies Métaboliques de Côte d’Ivoire et Directeur Coordonnateur du Programme National de Lutte contre les Maladies Non Transmissibles, et Mme Safiatou OUATTARA, Directeur Affaires Publiques Sanofi Afrique de l’Ouest, en présence de nombreux professionnels de santé.

Débuté en 2012 pour une durée de trois (3) ans, ce partenariat a permis la réhabilitation de l’unité de consultation du Centre Antidiabétique d’Abidjan (CADA), l’équipement de 15 cliniques du diabète et de l’hypertension artérielle (CDH) dans des centres hospitaliers ivoiriens, l’ouverture de 17 centres satellites autour de ces CDH, la formation de 151 médecins généralistes et la mise à disposition de 6 bourses de perfectionnement destinées à des médecins spécialistes.

«Le diabète et l’hypertension artérielle  restent des maladies en forte croissance dans nos pays d’Afrique subsaharienne. La mise en place des cliniques du diabète et de l’hypertension artérielle ainsi que des plans de formation des médecins sont une étape importante dans l’amélioration de la prise en charge des patients » a déclaré Safiatou OUATTARA, Directeur des Affaires Publiques au cours de son exposé durant le symposium. « Notre volonté est de continuer à accompagner les autorités de santé ivoiriennes à travers notre offre intégrée de solutions thérapeutiques. Nous continuerons à développer notre expertise en partenariat avec le Ministère de la Santé et de l’action Sociale pour faciliter la prise en charge des patients ivoiriens».

A travers des partenariats avec les Ministères de Santé publique en Afrique subsaharienne, Sanofi a déjà permis l’équipement de 34 cliniques du diabète et de l’hypertension artérielle dont 7 au Sénégal, 1 au Bénin, 1 en Guinée, 7 au Cameroun, 3 à Madagascar en sus des 15 ouvertes en Côte d’Ivoire. Et pour mieux accompagner la prise en charge des patients, ce sont environ 3, 000 professionnels de santé qui ont bénéficié de formations à travers les sessions de formation en ligne « E-diabète » et  du programme de formation cardio-métabolique initié par Sanofi  « PROCARMET ».

Les cliniques du diabète et de l’hypertension artérielle sont des espaces dédiés au diagnostic, dépistage, suivi et prise en charge effective des patients diabétiques et/ou hypertendus en Afrique subsaharienne francophone. Ces cliniques et leurs centres satellites permettent de décentraliser la prévention et la prise en charge de ces deux maladies afin de permettre au grand nombre d’avoir accès à des soins de qualité. Sanofi, dans le cadre de la convention de partenariat avec les Ministères de la Santé, équipe ces espaces de matériel médical de pointe pour la prise en charge et le suivi des malades. Ainsi  des téléviseurs et supports de communication confectionnés par des experts ont été mis à disposition pour sensibiliser les patients. Au total ce sont environ 160 000 patients[1] qui ont bénéficié des campagnes d’information et de dépistage grâce à l’ouverture de ces infrastructures au sein des hôpitaux en Côte d’Ivoire.

En plus des actions de formation prévues dans le cadre de ce partenariat, plus de 1500 médecins1  ont participé à la formation en ligne « E-diabète » (www.e-diabete.org) depuis son introduction en 2012 dans le pays. « E-diabète » est un programme de formation destiné aux professionnels de santé, développé par l’Université Numérique Francophone Mondiale (UNFM) en collaboration avec le réseau RAFT, l’université Senghor et Sanofi. Développé dans les pays d’Afrique subsaharienne, Il a pour objectif d’améliorer les connaissances sur le diabète afin de favoriser son diagnostic précoce, dans le but de réduire les risques associés aux complications et aux décès prématurés.