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“J’étais dans la cuisine, seule, lorsque j’ai senti le père de ma meilleure amie derrière moi. Une grosse bosse se frôle”

J’ai 19 ans et j’ai eu trois partenaires dans ma vie. Mon premier amour, F, qui a été mon tout premier, L, avec qui j’ai eu beaucoup d’expérience, et enfin Chris. Lorsque j’habitais en Normandie, j’avais une amie à Bordeaux, ma meilleure amie. Nous nous voyions peu souvent, mais à chaque fois que j’y allais, c’était souvent pour une ou deux semaines.

Cette fois-là, j’y étais pour une semaine, qui allait être inoubliable. Après un long voyage, j’arrivais enfin à Bordeaux. Mon amie et moi étions super heureuses de nous retrouver! Je monte dans sa chambre mettre mes bagages, puis je redescends et tombe sur Chris et sa femme, G.

Je leur dis bonjour, poliment, échange quelques banalités avec G, puis soudain Chris dit ” tu as beaucoup changée en tout cas”, et lorsque j’ai croisé son regard, j’ai vu sa perversité et j’ai compris. Ma chat-te est devenue chaude, mouillée, et j’étais troublée. Mais j’ai vite chassé ces pensées de ma tête; enfin, j’ai essayé.

Le soir, après avoir mangé avec tout le monde, je débarrassais la table et Chris aussi. Nous étions dans la cuisine, seuls, lorsque je l’ai senti derrière moi. J’étais penchée, en train de mettre des assiettes au lave-vaisselle, et j’ai soudain senti sa présence et surtout une grosse bosse se frôler contre mes fes-ses. Je savais que c’était lui et qu’il ban-dait. Je ne savais plus quoi faire. Mais il est parti aussitôt, laissant mon se-xe moite et brûlant. J’étais abasourdie, mais excitée, je me voyais en train de le sucer, de me faire prendre… Puis ma meilleure amie est arrivée et nous sommes sorties en boîte.

Le lendemain matin, je me levai vers 11h, ma meilleure amie dormait, G était partie aux courses, il ne restait que Chris. J’allai m’asseoir dans le salon, quand j’ai vu qu’il y était aussi, sur le canapé d’en face. Lorsque je me suis assise, j’ai senti son regard sur moi, sur mes cuisses dévoilées par ma nuisette si courte. Je n’osai pas lever la tête et fis mine de regarder la télé alors que je mouillais à mort. Puis il y eut une scène de sexe furtif à la télé.

A ce moment-là, j’ai levé la tête et croisé le regard de Chris… Tel un pervers, il me transperçait du regard. Je regardai ensuite vers sa bite et je la devinai gonflée, dure, prête à me pénétrer. Je ne pouvais me détacher de son sexe, de cette grosse bosse. Il me regardait toujours. Puis il se leva et alla dans sa chambre, me laissant seule. Alors je suis allée me soulager sous la douche, frustrée, et honteuse envers ma meilleure amie, et G… Elles qui me faisaient confiance, mais il était si beau, si sérieux, si pervers, et sa bite devait être si grosse… Non, assez, il fallait que je me ressaisisse.

Le soir même, nous étions sur la terasse en train de boire l’apéro avec des amis à G et Chris. J’avais un peu bu et Chris aussi. Pendant l’apéro, je me suis disputée avec ma meilleure amie et, vexée, triste, je suis partie dans la chambre m’allonger sur le lit, pour être au calme. Je les entendais en bas, je cherchais la voix de Chris mais je ne la trouvais pas. Soudain, la porte s’ouvrit doucement. C’était Chris. Il s’approcha de moi, et s’allonga à côté de moi, sur le lit. Il me demanda la raison de notre dispute et, pendant que je lui répondais, je me suis mise sur le côté, dos à lui. Alors, il s’est approché.

Il était en jogging, et j’ai tout de suite senti sa bi-te bien dure contre mes fes-ses. Il commença par se frotter à mon cul. Je sentais son se-xe faire des va-et-vient, et je mouillais, je ne pensais plus à rien sauf à lui, à sa queue.

Puis il glissa sa main entre mes cuis-ses. Mon ventre se contracta de plaisir. Ensuite, il déboutonna mon jeans et baissa son jogging en me demandant de faire pareil. “Ce sera mieux”, me dit-il. Puis j’ai senti sa bite chaude contre moi, toujours dos à lui. Avec sa main, il glissait sa queue sur mon a-nus, tout en titillant mon clito. Puis il me dit “laisse-toi faire”. Alors il m’écarta les cuisses, me mit sur le dos et enfouit sa tête sur ma chat-te. Je sentais sa langue froide lécher mon clito, vite, très vite. Ma tête tournait. Il léchait mes lèvres, ma fente, et se dirigea vers mon a-nus tout en me doigtant fort et vite. Je n’en pouvais plus.

Puis il me dit “t’es une salo-pe hein?” et j’ai étouffé un oui. “Tu veux du se-xe? Tu veux ma bi-te?” Et j’ai dit oui, plus fort. Il m’a retournée, et d’instinct je me suis mise à 4 pattes. Alors il m’a péné-trée avec sa grosse qu-eue qui ban-dait. Une vague de chaleur a envahi mon ventre. Il me pénétrait fort, je sentais ses boules taper sur ma chat-te et je l’entendais souffler de plaisir. Il me claquait le cul, puis il lâcha, “sale pute”, et là je poussai un cri. Il me prit ensuite en missionnaire et m’embrassa, enfouit sa langue dans ma bouche. “salo-pe … pu-te… va lécher ma bite… ta petite chat-te…pucelle” tout ces mots qu’il me disait me rendait folle. Alors sans lui laisser le temps de rien faire, je l’ai repoussé car l’envie m’avait prise de lui sucer la bi-te. Il se laissa faire, et je l’entendais gémir.

Puis il me repoussa avec force, me bloqua les bras et me péné-tra de force, mais avec tout mon consentement, me faisant subir ses coups de queue. Puis il éja-cula, en même temps que moi j’atteignais mon premier orgasme.

Nous nous sommes arrêtés, puis il m’avoua que l’année dernière il avait voulu me sauter mais que je n’avais pas remarqué ses “signaux”. Je lui dis que ça avait valu le coup d’attendre. Après m’avoir répondu oh oui, droit dans les yeux, il se rhabilla et descendit. Je le suivis cinq minutes après, et je me réconciliai ensuite avec ma meilleure amie. Le soir, alors que j’essayais de trouver le sommeil et de chasser ces images, ce plaisir de ma tête, j’entendis G et Chris faire l’a-mour. J’étais furieuse, triste, puis je me suis consolée en me disant que si ça se trouvait il pensait à moi, à nous il y avait quelques heures.

Depuis, il ne s’est plus rien passé, par respect pour sa femme et pour ma meilleure amie. Mais il m’arrive quand même, de temps à autre, de sentir une bosse se frotter contre moi, dans la cuisine, ou dans la piscine, comme en souvenir de cette extase.