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La maison Vallesse édition a présenté une première partie de ses nouvelles publications, le vendredi 23 juillet 2021 à son siège sis à Cocody II Plateaux.  

En prélude à la sortie des 25 auteurs de cette maison, six d’entre eux ont fait défiler les pages de leurs œuvres.

Lors de la rencontre, les écrivains constitués de Josué Guébo ("Le sacre de Djétéhi”), de Justin Ankon Miessan ("Hum ! ..."), de Jean-Marc Yao ("Les contes de ma grand-mère"), de Cédric Marshal Kissy ("Les larmes de la mer"), de Philipe Di Nacera "La Traversée", de Jean-Valère Djézou, "Prisons" et de Magloire Abalé, à travers "A l'ombre de l'heur", n’ont pas boudé leurs plaisirs.

« La sortie d'un livre constitue toujours un évènement qu'il faut célébrer avec joie. Mais cette joie ne doit jamais être vécue par l'auteur tout seul. Ce serait de l'égoïsme. Ses amis, ses proches, ces collègues, etc. doivent être associés à ces instants d'exubérance afin que le nouveau-né jouisse aussi de leurs soin et attention pour sa croissance harmonieuse », a indiqué Ankon Miessan, passionné des œuvres d’amour habillées de faits culturels. Pour ce grand d’éclat, la maison d’édition a enrôlé le journaliste-écrivain Philippe Di Nacera prêt à en découdre avec le coronavirus. L’ex-membre-fondateur de France 24 se dit, dans son récit, choqué par la propagation de cette épidémie mondiale qui a fragilisé la santé de son père et causé de nombreuses pertes de vie.

Revenu à la littérature en 2006, l’écrivain-musicien, philosophe et ex-président de l’Association des écrivains de Côte d’Ivoire (Aeci), Josué Guebo s’est accordé à travers ses lignes à la prééminence des œuvres du griot qui articule bravoure et humilité dans la société africaine.

Lauréat de la 1ère édition du concours ‘’les manuscrits d’or’’ organisé par Vallesse édition, Marshall Cédric garde encore de sombres souvenirs sur l’attaque terroriste de Grand Bassam. « Il ne faut pas se réjouir du mal des autres », déplore-t-il.

Sur les traces du père de la nation, Felix Houphouët-Boigny, Valère Djezou s’illustre comme un poète musicien chanteur au service des lecteurs. Selon cet auteur, la démocratie se doit d’être douce. « Elle est trop violente », dénonce-t-il.

Le plus jeune écrivain de cette vague Jean Marc Yao Yao plonge les amis du livre dans un univers de contes pleins d’enseignements tirés de la tradition africaine.  

Selon Serge Grah, le responsable éditorial de cette maison créée en 2005, « c’est le résultat d'une vraie passion du livre. Nous avons aimé le livre ».

Aimé Dinguy’s N.